De Tanneron ....
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Si la réalité est le produit de nos fictions, c’est à partir de là qu’il faut considérer que le regard a des pouvoirs variables, infiniment.
Toute la difficulté réside en voir en supprimant les fictions, les apparences et les rumeurs sur le sujet.
Une pacification des tourments, des peurs ordinaires, des agitations sans précision.
Et il y en avait comme ça partout des idées qui cogitaient et qui parlaient de peines et qui parlaient d’amour, des fois, dans les cas les meilleurs et les plus improbables.
Ce n’était pas difficile. Mais combien aimaient les complications parce qu’ils avaient très peur de s’ennuyer. Oui, ce monde est fou. Tout le monde le sait.
Juste un peu de conscience, quelle veine, quelle chance. Quel privilège !
Au nom de tous les siens Martin avait compris. De l’incendie de Tanneron.
Partout, des idées, qui se changeaient en mots au fur les pages, un rien de fraternité nécessaire à la compréhension, des mots parmi les mots pour un même ruisseau. De ces ruisseaux qui font un océan.
Bonjour, je m’appelle X, Y ou Z, et quelle importance puisque nous formons de mêmes alphabets ? Pour tenter de communiquer, des fois, un peu …
octobre 2007
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