Sur les côtes bretonnes ....
Aussi seul que possible, et tout face à la mer
Qui vient se fracasser en écume sauvage,
Là, contre les rochers où le regard se perd,
Quand le ciel devient lourd, saturé de l'orage.
Quand le vent se déchaîne, et fait plier la mer,
Les pieds nus dans le sable humide de la plage,
Là, cette sensation unique, embruns amers,
De n'être rien du tout, de ne plus avoir d'âge.
Et les oiseaux qui vont vers l'ouest au soir tombant
En d'harmonieux vols, comme c'est apaisant,
Furtive sensation qui s'imprime à jamais.
Et dans les cris des mouettes, retrouver ce moment,
D'intense liberté, épisode important,
Plus vaste était l'esprit, plus loin on a aimé.
*
Clic:
http://www.youtube.com/watch?v=4BeIPa98q-Q&mode=related&search=
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