Imagine Brutus ....
Imagine Brutus, ramenant quelques zèbres,
Et puis des éléphants et des lions pour l’arène,
Dans les rues de la Rome antique, et cet algèbre,
Particulier à ça des gloires qui sont pleines.
Il y avait la mer qui venait s’achever
Sur la plage en crissant d’un ultime soupir ;
L’océan qui venait tout doucement mourir
Sur le sable des terres, pour encore voyager.
Imagine Julius, rayonnant de ses fastes,
Et l’ego jubilant distendu d’émotion,
Devant tous les esclaves, et des femmes encore chastes,
Et le monde à ses pieds devant sa position.
Il y avait le ciel qui venait s’écraser
Sur la terre des hommes pour encore une fois ;
Avec ses galaxies, comprimer de son poids,
Les rêves les plus fous par ici hasardés.
Imagine depuis, les chapitres absurdes,
Où l’amour était loin oublié dans un coin,
Imagine depuis, les chapitres absurdes,
Oublié dans un coin où l’amour était loin.
Il y avait chaque pas, confortables ou pas,
Qui venait s’ajouter à des traces perdues,
Et toutes les histoires, en une confondue,
D’une naissance ensemble, un semblable trépas.
Imagine Brutus, ou Julius ou Titus,
Comme ils avaient la tête grosse pour des minus,
Les esclaves ont viré les barrières de fer,
Puis regardé le ciel, puis regardé la mer…
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